Jimm Juree part s'installer dans un village du sud de la Thaïlande, ancienne journaliste criminologiste du Mail Chiang Mai, pense en avoir fini avec sa carrière. Mais la découverte de deux squelettes de hippies lors du creusement d'un puits et d’un moine d'un village voisin assassiné, vont lui prouver le contraire.
Ce polar est écrit avec beaucoup d’humour. Il y a réellement une enquête sur les squelettes retrouvés ce qui n’empêche de rire dès le début du livre grâce à des personnages hors du commun, il est même parfois difficile de se concentrer sur l’histoire tellement les personnages se comportent avec un naturel déroutant. De plus ce livre nous fait voyager en Thaïlande et nous fait découvrir certaines coutumes.
Il s'agit d'une nouvelle enquête d'Isabel Dalhousie philosophe et directrice d'une revue à Edimbourg. Elle aide toujours les autres. Elle est d'ailleurs régulièrement sollicitée par sa nièce, Cat, pour la remplacer dans son épicerie fine, ce qui lui donne l'occasion de remonter le moral à Eddie, un jeune homme de 21 ans timide et solitaire. Un jour, Martha, une voisine aux manières un peu brutales, lui propose de se pencher sur un mystérieux vol de tableau de Nicolas Poussin survenu chez un riche collectionneur...
Ce roman est le premier d’une trilogie qui vise à égaler le succès de Stieg Larsson et de sa trilogie Millénium. Sous le nom d’Erik Axl Sund se cache en réalité deux auteurs suédois, qui signent ici leur premier roman. Et quel roman ! Une fois pris en main, il est difficile de le lâcher. Dès les premiers pages, on est accroché. Une femme aménage un appartement, en faisant quelques travaux de bricolage : elle s’assure de l’isolation phonique, colle des morceaux de polyester sur les murs d’une pièce, monte une bibliothèque sur des roulettes, bibliothèque qui servira à cacher la pièce secrète qu’elle aménage. Puis, elle prend l’enfant qui dort dans une des chambres voisines, s’assure que la dose de morphine agit toujours, et l’installe dans la pièce secrète. Plutôt inquiétant, surtout lorsqu’à la scène deux, on découvre, près d’une bouche de métro, le corps d’un enfant momifié.